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LPN1 et élevage

Dernière mise à jour : 31 déc. 2020

LPN1 maladie génétique à allèle récessif « à risque *»



N/N Homozygote normal (sain) = Ne développe pas la maladie et ne transmet pas la mutation





D/N Hétérozygote (porteur à risque*) = Transmet la mutation à 50% de sa descendance

Ne développe généralement pas la maladie mais une apparition tardive est possible




D/D Homozygote muté (atteint) = Développe la maladie et Transmet la mutation à 100% de sa descendance




*: Jusqu'à ce que l'on ne découvre d'autres mutations causant une maladie potentielle, il est impossible de déterminer avec certitude pourquoi quelques chiens LPN1-D/N développent la maladie. Cela pourrait être dû à la copie seule de la mutation LPN1 ou, cela pourrait être dû à une autre forme de maladie (doit encore être élucidé), ou même une combinaison des deux. Tant qu'il n'est pas certain que tous les chiens LPN1-D/N développeront la maladie neurologique, nous ne recommandons pas l'exclusion automatique de ces chiens de l’élevage.

Les portées issues d’un accouplement LPN1-D/N × LPN1-N/N devraient être testées et, de préférence seuls les chiots LPN1-N/N, si toutes les autres conditions sont similaires, devraient être gardés pour une reproduction future. Toutefois, si le chiot LPN1-D/N est préféré, il est acceptable de le garder pour un usage limité dans une future reproduction. Dans la biobanque mondiale de plus de 9,000 Leonbergers, ~11% étaient des porteurs de LPN1-D/N. L'élimination immédiate de tous les chiens LPN1-D/N de la reproduction pourrait avoir des conséquences négatives sur la diversité génétique de la race.


Les probabilités de transmission aux chiots en fonction des accouplements :

Les génotypes LPN1, LPN2, LPPN3 et LEMP doivent tous être pris en compte lors du choix des reproducteurs.


Source : Université de Berne, Institut de Génétique, Bremgartenstr.109a, CH 3001 Bern

Illustration : France Leonberg Group

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